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Jean-Paul Belmondo fête son anniversaire de 80 ans

Jean-Paul Belmondo fête ses 80 ans aujourd’hui

80 ans, Un âge sage et un anniversaire, que Jean-Paul Belmondo a préparé avec ses proches, tous réunis pour fêter avec lui cet évènement. Sa fille Stella, son rayon de soleil, comme il le dit si bien, la petite fille qu’il a eue avec Natty, était aussi de la partie, ravie d’être avec toute sa famille. L’acteur était chez son fils Paul et sa femme Luana ce week-end pour organiser la fête. Sa fille Florence, qui vit aux États-Unis, a traversé l’Atlantique pour lui, avec ses trois enfants, Christopher, Nicholas et Annabelle.

Bruxelles: Une grande foule pour deux jours de fêtes

Fete Royale en Belgique
Bruxelles attends une grande foule pour deux jours de fêtes. Impossible de tout voir ou d’assister intégralement à ces journées historiques. Voici quelques immanquables.

Il y aura bien sûr, des belles robes et des chapeaux en équilibre sur les têtes de ces dames, des uniformes et des médailles, des drapeaux noir-jaune-rouge par milliers et les flonflons fous de la fête. Sans oublier la bière qui coule à flots pour arroser les casseroles de moules et le bouquet final du feu d’artifice avec des Oh ! et des Ah ! esbaudis. Mais dimanche, ne cherchez pas dans la foule massée autour du palais royal ni sur les écrans de télévision la reine d’Angleterre, son fils ou son petit-fils, les voisins Willem Alexander et Maxima, Albert de Monaco avec ou sans Charlene. Ce n’est pas le genre de la maison belgo-belge. La passation de pouvoir aura lieu « entre nous », sans chichis (ou presque), à notre mode, entre sérieux et décontraction.

Le cérémonial belge de l’abdication et de la prestation de serment tranchera par exemple avec la récente intronisation du fils de la reine Beatrix aux Pays-Bas : manteau d’hermine, cathédrale et grandes orgues. Chez nous, l’engagement est civil : le Roi face aux représentants du peuple, au Parlement.

Philippe sera le roi des Belges, pas de la Belgique, en fait l’émanation de la Nation. La présence des cousins des dynasties européennes aurait mis de l’éclat dans cette journée d’été, mais leur place n’est pas là (sans compter qu’ils sont sans doute tous en vacances et qu’à Londres, une naissance fait figure d’événement du siècle).

Un « roi normal »

Faut-il aussi rappeler que le 21 juillet aurait été le 21 juillet sans l’abdication d’Albert II. Ce dimanche d’été est l’occasion de célébrer la Fête nationale. Te Deum, défilé militaire et fiesta à Bruxelles : le scénario est pratiquement immuable. Il sera à peine amendé pour permettre à Albert d’abdiquer et à Philippe de prêter serment. Il y aura finalement un côté « roi normal » dans cette journée. Avec une garantie : sur le plan populaire, le soleil aidant, le succès de foule est une certitude. C’est le cas chaque année.

L’édition 2013 ne dérogera pas à la règle et on ne saura jamais si Philippe aurait attiré la grande foule s’il avait entamé son mandat un dimanche d’automne ou sous les giboulées de mars. Rien que pour cela, le règne débutera sous les meilleurs auspices, ce qui tranche singulièrement avec le climat dramatique qui présida à l’installation de Léopold III, Baudouin ou Albert II. Ici, ni deuil ni crise institutionnelle, un passage de relais en souplesse.

Des invités triés sur le volet, un programme évitant les moments de prestige, genre coupe de champagne ou banquet officiel, et des invitations au compte-gouttes : le 21 juillet 2013 ne restera pas dans les annales trois étoiles pour les grands de ce pays et de ce monde. Le gouvernement et le palais sont restés fidèles au principe adopté avant l’annonce de l’abdication : cette Fête nationale, célébrant les vingt ans de règne d’Albert II, se ferait à l’économie.

L’avènement de Philippe jouera donc la même carte, celle de la modestie qui sied si bien à la Belgique.

Seize heures de direct

Modestie, économie,… il en sera moins question sur les chaînes de télévision. Vous aurez beau zapper, vous n’aurez rien d’autre à voir ce dimanche sur les quatre chaînes principales de télévision du pays (RTBF, RTL-TVI, VTM et VRT). Dès l’aube et jusqu’en fin de soirée, un seul et unique programme sera proposé: la fête nationale et ce moment historique de passation entre Albert II et Philippe. Pour cet événement, les quatre chaînes se sont associées pour produire ensemble le signal de retransmission de l’événement. Concrètement, les images retransmises seront donc identiques sur les quatre chaînes. Mais chacune les habillera à son goût.

Sur la RTBF, le direct débutera dès 7h30 et se clôturera vers 23h. Un seul plateau installé dans les locaux de la RTBF est prévu, mais il sera complété par divers points de directs répartis sur les lieux stratégiques de la journée. «C’est probablement l’événement le plus important que nous couvrons en direct depuis 1993 lors de la mort du roi Baudouin», commente Jean-Pierre Jacquemin, directeur de l’information.

RTL-TVI assurera seize heures de direct (de 8h à minuit). La chaîne privée a opté pour deux plateaux. L’un sera installé place des Palais et sera animé par Hakima Darhmouch. Elle sera entourée de nombreux invités et chroniqueurs comme Patrick Weber. L’autre plateau se trouvera à RTL House et c’est Thomas de Bergeyck qui sera à la présentation. Il y recevra des historiens, des politologues, etc. « C’est un moment historique que nous allons suivre et faire vivre à nos téléspectateurs. Nous serons au cœur de l’événement », précise Laurent Haulotte, directeur de la rédaction à RTL.

L’événement sera aussi diffusé sur toutes les radios belges.

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