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Jean-Paul Belmondo fête son anniversaire de 80 ans

Jean-Paul Belmondo fête ses 80 ans aujourd’hui

80 ans, Un âge sage et un anniversaire, que Jean-Paul Belmondo a préparé avec ses proches, tous réunis pour fêter avec lui cet évènement. Sa fille Stella, son rayon de soleil, comme il le dit si bien, la petite fille qu’il a eue avec Natty, était aussi de la partie, ravie d’être avec toute sa famille. L’acteur était chez son fils Paul et sa femme Luana ce week-end pour organiser la fête. Sa fille Florence, qui vit aux États-Unis, a traversé l’Atlantique pour lui, avec ses trois enfants, Christopher, Nicholas et Annabelle.

BIOGRAPHIE DE ANNIE GIRARDOT

Annie Girardot
Nom : ANNIE GIRARDOT
Naissance : Le 25 Octobre 1931
Décès : Le 28 Février 2011
Âge ‘décès) : 80 ans
Signe astrologique : Scorpion
Pays : France

 

Annie Girardot est née à Paris le 25 octobre 1931. Avant d’entamer la grande carrière qu’on lui connaît, la jeune femme aux cheveux courts, à la voix grave et à l’allure de garçon manqué s’est d’abord orientée vers des études d’infirmière. Pourtant, très vite, elle abandonne ses projets pour se lancer dans la comédie.

Elle entre alors au conservatoire de la rue Blanche. Parallèlement, elle monte le soir sur la scène de cabarets comme la Rose rouge, ou le Lapin agile à Montmartre. Elle y fait ses apparitions sous le pseudonyme d’Annie Girard. La jeune actrice participe également à des revues comme Dugudu avec la troupe de Robert Dhéry.

Juillet 54, Annie Girardot sort du conservatoire avec deux prix en poche. Très vite, elle se fait engager à la Comédie Française qu’elle quitte quelques temps plus tard pour se consacrer à sa carrière cinématographique. En 1956, Annie joue aux côtés de Robert Hirsh, La Machine à Ecrire. Son interprétation magistrale séduit Jean Cocteau qui voit en elle « le plus beau tempérament dramatique de l’après guerre ».

Annie se fait aussi remarquer dans Maigret tend un piège de Jean Delannoy et l’Amour est en jeu de Marc Allegret.
Dès le début des années 60, de nombreux metteurs en scène sollicitent son talent. 1960 sera d’ailleurs une année capitale dans la vie d’Annie. Non seulement elle tourne sous la houlette du grand Viscontti Rocco et ses frères, un de ses films cultes, mais elle fait surtout la connaissance de celui qui deviendra deux ans plus tard son mari, l’acteur italien Renato Salvatori. Son mariage la conduit à mener une double carrière à la fois sur le sol français et italien. Durant cette décennie, Annie Girardot tourne avec les plus grands réalisateurs, Roger Vadim, Marco Ferreri, Marcel Carmé, Claude Lelouch. Ainsi elle se retrouve à l’affiche du Vice et la Vertu, Le Mari de la femme à barbe (1964), Un homme qui me plaît (1969). Cette période est aussi celle des premières récompenses. Ainsi en Italie, elle reçoit le prix d’interprétation à Venise pour Trois chambres à Manhattan de Marcel Carmé, en 1965.

Mais ce n’est que dans les années 70, qu’Annie Girardot devient une actrice phare du public français. Ce dernier lui voue d’ailleurs un amour sans faille pour ses rôles dans ses comédies populaires. A la fois femme moderne et active, elle se moule parfaitement dans l’esprit des femmes de cette génération. Annie crève l’écran dans Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais…elle cause, de Michel Audiard et Tendre Poulet ou elle incarne une femme flic. Le cinéma français la récompense en 1977 avec le César de la meilleure actrice pour Docteur Françoise Gailland.

Toutefois, et même si sa carrière est loin d’être finie, les années qui suivent sont loin de lui être aussi propices. Elle est tout de même à l’affiche de films mémorables comme Souvenirs, souvenirs (1984) ou encore Cinq jours en juin (1989) de Michel Legrand. Après une période plus terne, 1996 marque son grand retour avec l’obtention d’un deuxième César cette fois pour le meilleur second rôle pour son interprétation dans le film de son ami de longue date Claude Lelouch, Les Misérables. En 2000, elle a un rôle remarqué dans La Pianiste, film du réalisateur Michael Haneke, qu’elle retrouve en 2003 dans Caché, Puis en 2004, elle joue aux côtés de Jean-Paul Rouve et Gérard Depardieu, dans le premier long métrage d’Eric Toledano et Olivier Nakache, Je préfère qu’on reste amis.

A partir de 2006, malgré la maladie, Annie Girardot trouve encore la force de jouer comme dans Le temps des porte-plumes de Daniel Duval ou dans C’est beau une ville la nuit, de Richard Bohringer.

Si la carrière d’Annie Girardot a été plus que prospère au grand écran, il en est de même au théâtre. La comédienne a en effet été dirigée par les plus grands. Notamment par Luchino Visconti dans Deux sur la balançoire où elle donnait la réplique à Jean Marais, mais aussi par Roger Planchon, René Dupuis, Jorge Lavelli, etc. Son rôle fétiche étant Madame Margueritte qu’elle joua de 1974 à 2002 avec toujours autant de plaisir.

Annie Girardot a eu une fille Giulia Salvatori, auteur d’une biographie intitulée La mémoire de ma mère où elle relate tous les souvenirs de la grande star.

Annie Girardot est décédée le 28 février 2011.

Filmographie :

2007 : Christian, de Elisabeth Löchen
2007 : Boxes, de Jane Birkin
2006 : C’est beau une ville la nuit, de Richard Bohringer
2006 : Le temps des portes plumes, de Daniel Duval
2005 : Caché, de Michael Haneke
2005 : Je préfère qu’on reste amis, de Olivier Nakache
2003 : Prophétie des grenouilles, de Jacques-Rémy Girerd 2002 : Epsteins Nacht, de Urs Egger
2003 : Paris, je t’aime de Bernardo Bertolucci et Seijun Suzuki
2002 : Les feux de la rampe, de Philippe Azoulay
2001 : Ceci est mon corps, de Rodolphe Marconi
2001 : Des fleurs pour Irma, de Eric Lacroix
2000 : La Pianiste, de Michael Haneke
1999 : T’aime, de Patrick Sebastien
1997 : L’Age de braise, de Jacques Leduc
1996 : Les Bidochons, de Serge Korber
1996 : Noces cruelles
1994 : Les Misérables, de Claude Lelouch
1993 : Les Braqueuses, de Jean-Paul Salomé
1992 : Portagli i miei saluti – avanzi di galera,
1991 : Toujours seuls
1990 : Merci la vie, de Bertrand Blier
1989 : Il y a des jours… et des lunes, de Claude Lelouch
1989 : Comédie d’amour, de Jean-Pierre Rawson
1988 : Cinq jours en juin, de Michel Legrand
1988 : The Legendary Life of Ernest Hemingway
1988 : Prisonnières
1984 : Adieu blaireau, de Bob Decout
1984 : Partir, revenir, de Claude Lelouch
1984 : Souvenirs, souvenirs, de Ariel Zeitoun
1984 : Liste noire, de Alain Bonnot
1981 : La Revanche, de Pierre Lary
1981 : La Vie continue, de Moshé Mizrahi
1981 : All Night Long
1980 : Une robe noire pour un tueur, de José Giovanni
1980 : Le Coeur à l’envers, de Frank Apprederis
1979 : On a volé la cuisse de Jupiter, de Philippe de Broca
1979 : L’Ingorgo – Una storia impossibile (Le grand embouteillage), de Luigi Comencini
1979 : Bobo Jacco, de Walter Bal
1979 : Cause toujours… tu m’intéresses
1978 : Le Cavaleur, de Philippe de Broca
1978 : La Clé sur la porte, de Yves Boisset
1978 : L’Amour en question, de Andre Cayatte
1978 : Vas-y maman, de Nicole de Buron
1978 : La Zizanie, de Claude Zidi
1977 : Tendre poulet, de Philippe de Broca
1977 : L’affaire
1977 : Le Dernier baiser de Dolores Grassjan
1977 : Le Point de mire de Jean-Claude Tramont
1977 : Jambon d’Ardenne, de Benoit Lamy
1977 : À chacun son enfer
1976 : Cours après moi que je t’attrape
1975 : D’amour et d’eau fraîche, de Jean-Pierre Blanc
1975 : Il pleut sur Santagio, de Helvio Soto
1976 : Docteur Françoise Gailland, de Jean-Louis Bertucelli
1975 : il Sospetto (le Suspect)
1975 : Le Gitan, de José Giovanni
1975 : Il faut vivre dangereusement, de Claude Makovski 1973 : Juliette et Juliette, de Remo Forlani
1974 : La Gifle, de Claude Pinoteau
1973 : Ursule et Grelu, de Serge Korber
1972 : Il n’y a pas de fumée sans feu, de Andre Cayatte
1972 : Les Feux de la chandeleur, de Serge Korber
1972 : Traitement de choc, de Alain Jessua
1971 : La Mandarine, de Edouard Molinaro
1971 : Elle cause plus, elle flingue, de Michel Audiard
1971 : La Vieille fille, de Jean-Pierre Blanc
1970 : Clair de Terre, de Guy Gilles
1969 : Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais… elle cause ! de Michel Audiard
1970 : Mourir d’aimer, de Andre Cayatte
1970 : Les Novices, de Guy Casaril
1970 : La Storia di una donna, de Leonardo Bercovici
1969 : La Bande à Bonnot, de Philippe Fourastié
1969 : Seme dell’uomo
1969 : Un Homme qui me plaît, de Claude Lelouch
1968 : Metti una sera a cena (Disons un soir à dîner )
1968 : La Vie, l’amour, la mort, de Claude Lelouch
1968 : Dillinger è morto (Dillinger est mort)
1968 : Bice skoro propast sveta (Il pleut dans mon village), de Aleksandar Petrovic
1968 : Erotissimo, de Gérard Pirès
1967 : Les Gauloises bleues, de Michel Cournot
1967 : Vivre pour vivre, de Claude Lelouch
1967 : Zhurnalist (The Journalist)
1966 : Le Streghe (Les Sorcieres), de Pier Paolo Pasolini et Vittorio De Sica
1964 : Un monsieur de compagnie, de Philippe de Broca
1965 : Trois chambres à Manhattan, de Marcel Carné
1965 : Guerre secrète (The Dirty Game)
1965 : Una voglia da morirede Duccio Tessari
1964 : Déclic et des claques de Philippe Clair
1964 : Le Belle famiglie de Ugo Gregoretti
1964 : La Ragazza in prestito
1964 : Les autre femmes
1963 : La Bonne soupe, de Robert Thomas
1964 : Le Mari de la femme a barbe (La donna Scimmia), de Marco Ferreri
1963 : Les Camarades (I Compagni), de Mario Monicelli
1962 : Il Giorno più corto
1962 : Smog
1963 : Le Vice et la vertu, de Roger Vadim
1961 : Le Crime ne paie pas, de Gérard Oury
1961 : Le Bateau d’Emile, de Denys de La Patellière
1961 : Les Amours celebres, de Michel Boisrond
1961 : La Proie pour l’ombre, de Alexandre Astruc
1960 : La Française et l’amour
1960 : Rocco e i suoi fratelli (Rocco et ses frères), de Luchino Visconti
1959 : Recours en grâce, de Laslo Benedek
1959 : La Corde raide, de Dudrumet Jean-Charles
1958 : Le Désert de pigalle, de Leo Joannon
1957 : Maigret tend un piège, de Jean Delannoy
1957 : L’Amour est en jeu, de Marc Allegret
1957 : Le Rouge est mis, de Gilles Grangier
1957 : Reproduction interdite, de Gilles Grangier
1956 : L’Homme aux clefs d’or, de Leo Joannon
1955 : Treize à table, de André Hunebelle

[via] purepeople.com
publié, le 28 Février 2011

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