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Jean-Paul Belmondo fête son anniversaire de 80 ans

Jean-Paul Belmondo fête ses 80 ans aujourd’hui

80 ans, Un âge sage et un anniversaire, que Jean-Paul Belmondo a préparé avec ses proches, tous réunis pour fêter avec lui cet évènement. Sa fille Stella, son rayon de soleil, comme il le dit si bien, la petite fille qu’il a eue avec Natty, était aussi de la partie, ravie d’être avec toute sa famille. L’acteur était chez son fils Paul et sa femme Luana ce week-end pour organiser la fête. Sa fille Florence, qui vit aux États-Unis, a traversé l’Atlantique pour lui, avec ses trois enfants, Christopher, Nicholas et Annabelle.

Les producteurs de lait annoncent un accord sur les prix

Les éleveurs ont mené des campagnes d'étiquetage dans les grandes surfaces (AFP)

Après plusieurs heures de discussions, éleveurs et fabricants de produits laitiers ont trouvé un accord sur une hausse du prix du lait pour 2010. Selon les industriels, la hausse sera « de l’ordre de 10% » en 2010.

Les producteurs de lait ont annoncé, mercredi 18 août, avoir trouvé un accord sur les prix du lait, à l’issue de plusieurs heures de négociations, sans donner plus détails dans l’attente d’une conférence de presse prévue au siège de la FNSEA à 19h. Selon les industriels, la hausse sera « de l’ordre de 10% » en 2010.

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Dans une ambiance de grand secret, producteurs de lait, coopératives et industriels ont commencé leur réunion à 14h30 afin de trouver un accord sur une hausse du prix du lait 2010 et ouvrir une perspective pour l’année 2011.

Avant la Réunion, les éleveurs disaient vouloir décrocher un accord rapidement : « nous venons pour discuter et aboutir à un accord aujourd’hui », a déclaré Henri Brichart, président de la Fédération nationale des producteurs de lait (FNPL) qui souhaite une augmentation de 10% du prix pour 2010 par rapport à 2009.

Poussant également à une conclusion rapide, le ministre de l’Agriculture Bruno Le Maire a dit avoir « bon espoir » que les différentes parties trouvent un compromis pour 2010. « Nous voulons sortir définitivement de la crise et j’ai bon espoir qu’industriels, coopératives et producteurs puissent s’entendre aujourd’hui sur un prix du lait pour 2010 », a-t-il déclaré sur i-Télé.

La compétitivité sur 2011
Si aucun accord n’intervenait « avant la fin de la semaine »,les syndicats brandissaient la menace d’une reprise des mouvements de protestation contre les transformateurs (industriels et coopératives). Ces dernières semaines, les éleveurs avaient mené des campagnes d’étiquetage dans les grandes surfaces, appelant les consommateurs à ne pas acheter certains produits de Bel (Vache qui rit), Bongrain (Caprice des Dieux) et Lactalis (Camembert Président) notamment.

Alors que les prix ne sont toujours pas connus pour le troisième trimestre, les discussions de mercredi devaient également tenter de fixer des tendances pour 2011 avec la prise en compte de la question de la compétitivité avec l’Allemagne, un point primordial pour les industriels.

« On va essayer aussi d’avancer sur le problème de la compétitivité sur 2011 pour ne pas être trop en décalage par rapport à l’Allemagne », a concédé Henri Brichart. Bruno Le Maire a reconnu le bien fondé des arguments des fabricants de produits laitiers qui soulignent leur problème de compétitivité avec l’Allemagne où le lait est moins cher. « Mais avant de traiter cette question de la compétitivité, entendons-nous sur le prix du lait d’ici la fin de l’année 2010 », a martelé le ministre.

« Pas de politique de l’autruche »
De son côté, la Fédération nationale des coopératives laitières (FNCL) paraissait moins empressée, soulignant que la Réunion devait examiner « un véritable programme de travail pour préparer la filière laitière française à la fin des quotas (2015) ». « Pas de politique de l’autruche », insistaient les coopératives pour qui les « sujets liés à la fin des quotas et à l’éventualité de fortes augmentations de la production de lait dans certaines régions ou dans certains Etats, comme l’Allemagne, ne doivent plus être occultés ».

En clair, la FNCL souhaite que l’écart de prix entre le lait français et allemand, moins cher, se réduise. En 2009, le prix du lait français était 35 euros (pour 1.000 litres) supérieur à celui de son concurrent outre-Rhin, un différentiel qui inquiète les industriels français en perte de vitesse face aux Allemands.

Cette position est également défendue par la Fédération nationale des industries laitières (FNIL), qui regroupe des entreprises comme Bel, Bongrain, ou encore Lactalis. Mercredi, la FNIL n’était pas joignable.

C’est sur ce point que les positions devront s’assouplir. Il faudra trouver le juste équilibre qui permettra aux transformateurs de regagner des parts de marché à l’export et aux producteurs de bénéficier de la reprise des marchés après une année 2009 « catastrophique » avec des revenus qui ont baissé de plus de 50%.

[via] avec AFP, nouvelobs.com

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