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Jean-Paul Belmondo fête son anniversaire de 80 ans

Jean-Paul Belmondo fête ses 80 ans aujourd’hui

80 ans, Un âge sage et un anniversaire, que Jean-Paul Belmondo a préparé avec ses proches, tous réunis pour fêter avec lui cet évènement. Sa fille Stella, son rayon de soleil, comme il le dit si bien, la petite fille qu’il a eue avec Natty, était aussi de la partie, ravie d’être avec toute sa famille. L’acteur était chez son fils Paul et sa femme Luana ce week-end pour organiser la fête. Sa fille Florence, qui vit aux États-Unis, a traversé l’Atlantique pour lui, avec ses trois enfants, Christopher, Nicholas et Annabelle.

Une aide possible pour 1,5 million de Français qui l’ignorent

La santé, notre bien le plus cher, a un coût. Mais comment choisir sa complémentaire et s’y retrouver face aux multiples offres du marché ? Dans son hors-série de janvier 2010, l’UFC-Que choisir consacre une enquête au sujet. « C’est compliqué, admet Christophe Le Guéhennec, l’un des auteurs du dossier. Il faut être capable de dresser un bilan précis sur votre santé pour avoir une idée du panier de services qui pourraient vous être utiles. Autant dire mission impossible. »

La jungle des tarifs n’arrange rien. Comptez de 47,40 € à 152,10 € par mois pour un contrat Familles de base (couple et deux enfants). Le bon sens voudrait que le choix d’un niveau de garantie s’effectue en fonction de l’âge de chacun, de sa situation familiale et professionnelle, de son état de santé. C’est plus complexe que cela. Une certitude : le contrat collectif (6 sur 10) est toujours plus avantageux que le contrat individuel puisque les entreprises prennent en charge 50 à 60 % du coût réel des cotisations.

Pour être bien couvert, pas de mystère. Il faut quand même y mettre le prix. « On a du mal à apprécier la qualité du low cost (bas coût) en matière de protection santé, poursuit Christophe Le Guéhennec. On ne trouve pas de mutuelles qui proposent des tarifs très bas avec, en contrepartie, une protection optimale. »

Dépassements d’honoraires dans le collimateur

En ces périodes de frimas sur le pouvoir d’achat et de gros froid sur la précarité, le mot mutuelle devrait avoir du sens. « Il est beaucoup piraté », lâche Jean-Pierre Davant, représentant 800 mutuelles de France (95 % du marché), qui parle de la Couverture maladie universelle (CMU) comme d’un progrès.

« Un petit seulement, car seules celles qui disposent d’un revenu en dessous de 625 € par mois peuvent en bénéficier. En France, le seuil de pauvreté est fixé à 800 €. » À la place de ce dispositif, la Mutualité française, sans être entendue, plaide pour « un crédit d’impôt universel ».Pour gagner en efficacité et en justice sociale. Alors que la CMU complémentaire renforce, pour les bénéficiaires de la CMU, l’accès à une protection santé gratuite accordée pour un an, ceux qui ont entre 627 € et 752 € de revenus par mois ont droit à l’aide à la complémentaire santé. Sans le savoir ?

Aujourd’hui, 500 000 personnes seulement, sur deux millions concernées en France, en bénéficient. Pour obtenir ce coup de pouce sous forme d’un chèque qui vient en déduction lors de l’acquisition d’un tel contrat (100 € pour les moins de 16 ans ; 200 € pour les 16-49 ans ; 300 € pour les 50-59 ans ; 500 € pour les plus de 60 ans), il faut se renseigner auprès de sa CPAM. « On ne refuse pas l’accès des centres mutualistes santé, conclut Jean-Pierre Davant. Là, c’est sûr déjà, il n’y a pas de dépassements d’honoraires. » Ces fardeaux qui, plus que jamais, sont dans le collimateur des mutuelles.

[ via l’article d’origine ]
P.C., ouest-france.fr
publié, le 13 Janvier 2010

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