Jean-Paul Belmondo se confie sur son état de santé
Jean-Paul Belmondo était l’invité du journal de TF1 samedi 2 janvier avec son fils Paul Belmondo à l’occasion de la diffusion du documentaire qui lui est consacré programmé le dimanche 3 janvier sur TF1
Jean-Paul Belmondo, immense star française à partir des années 60, a vu sa carrière s’arrêter brusquement lorsqu’il a été victime le 8 août 2001 d’un terrible accident vasculaire cérébral alors qu’il était en vacances en Corse chez son ami Guy Bedos. Depuis cette époque, l’acteur se fait plutôt rare. Jean-Paul Belmondo a accepté d’être au casting du documentaire qui lui est consacré et au cours duquel il a pu revenir sur les lieux de tournages qui ont marqué sa carrière en compagnie de son fils, Paul Belmondo. Ce dernier s’était confié au magazine Gala sur cette aventure un peu particulière : « Avec le réalisateur Régis Mardon, on avait prévu, par exemple, de lui laisser une journée de récupération en arrivant à Rio, pendant laquelle nous irons faire des repérages, et de ne tourner que le surlendemain. Sauf que lui, dès le premier jour, il voulait tourner! Il est comme il a toujours été : partant, de bonne humeur, plein d’énergie ».
Vers 100 ans je serai parfait
Interrogé sur sa relation avec Alain Delon, l’acteur a confié qu’il avait souvent été en désaccord avec son ami : « Avec Alain, on se disputait souvent c’est vrai, mais ce n’était pas grave, on se parlait quand même. Nous étions indissociables ». Alors que Paul Belmondo confie au début du documentaire que pas un jour ne passe sans qu’on lui demande des nouvelles de son père, Jean-Paul Belmondo s’est confié sur sa santé et assure qu’il va très bien : « Bien, je vais bien ». En 2001 les médecins assuraient que l’acteur ne pourrait plus marcher ni parler, mais Jean-Paul Belmondo a su prouver le contraire : « Quand les gens disent ça j’ai dit ‘attend je vais montrer que je vais faire le contraire ». Cette force, l’acteur la doit à son père qui lui disait qu’il fallait surmonter les ennuis : « Toujours, il faut surmonter l’obstacle. Il me disait Travaille mon petit, travaille, travaille, travaille. Et je me suis servi de son travail toute la vie ». Aujourd’hui, Jean-Paul Belmondo arrive à parler et à marcher de mieux en mieux : « Je crois que vers 100 ans je serai parfait ».
[via non-stop-zapping.com]