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Jean-Paul Belmondo fête son anniversaire de 80 ans

Jean-Paul Belmondo fête ses 80 ans aujourd’hui

80 ans, Un âge sage et un anniversaire, que Jean-Paul Belmondo a préparé avec ses proches, tous réunis pour fêter avec lui cet évènement. Sa fille Stella, son rayon de soleil, comme il le dit si bien, la petite fille qu’il a eue avec Natty, était aussi de la partie, ravie d’être avec toute sa famille. L’acteur était chez son fils Paul et sa femme Luana ce week-end pour organiser la fête. Sa fille Florence, qui vit aux États-Unis, a traversé l’Atlantique pour lui, avec ses trois enfants, Christopher, Nicholas et Annabelle.

Football : La France retrouve le sourire

L’équipe de France s’est rassurée en allant s’imposer 2-0, hier soir, en Bosnie-Herzégovine. Maîtres du jeu, les Bleus ont dû attendre les 20 dernières minutes pour faire plier leur adversaire et se relancer dans la course à la qualification pour l’Euro 2012.

Karim Benzema (à gauche) a débloqué la situation à la 72 e. Et c’est de lui qu’est venu le second but, inscrit par Florent Malouda. Photo AFP

Laurent Blanc tient sa première victoire en tant que sélectionneur et l’équipe de France son premier succès depuis le match face au Costa Rica le 26 mai dernier (2-1). Pour sa troisième sortie à la tête des Bleus, le « Président », déjà sous pression après la défaite initiale concédée au Stade de France vendredi dernier face à une petite équipe de Biélorussie (0-1), s’est offert un grand bol d’air. Et le salut des Bleus, ultradominateurs dans une enceinte de Sarajevo bien moins hostile que prévue, est venu des deux tauliers Benzema et Malouda, buteurs aux 72 e et 78 e minutes.

L’équipe de France a certes ramené trois points qui la replacent à la 3 e place du groupe, mais le meilleur enseignement à tirer de cette soirée est sans aucun doute le remaniement tactique opéré par Laurent Blanc. Adieu le 4-4-2 proposé face à la Biélorussie, le « Président » a opté pour un 4-3-2-1 avec trois milieux récupérateurs (A. Diarra, Diaby et M’Vila), configuration qui avait fait la force de l’équipe de France à la fin des années 1990 et au début des années 2000. Et le résultat n’a pas mis longtemps à se faire sentir.

Une seule occasion pour la Bosnie

Totalement étouffés au milieu du terrain, les Bosniens ont été incapables de mettre en danger la défense tricolore en première période, si ce n’est sur deux coups-francs de Misimovic que l’arrière-garde des Bleus dégageait avec conviction (15 e et 36 e). Rami, impeccable dans toutes ses interventions, et Diaby, aux quatre coins du terrain, étaient les moteurs de la France qui monopolisait le ballon et qui n’hésitait pas à se projeter rapidement vers l’avant. Mais le manque de spontanéité ou de réalisme (Benzema aux 12 e, 19 e, 26 e) empêchait les Bleus de venir inquiéter Hasagic. La France a accumulé les corners et les frappes, mais le portier bosnien a en tout et pour tout dû se coucher à deux reprises. Une première fois en intervenant dans les pieds de Diaby qui, après un une-deux avec Malouda, s’était pourtant ouvert le chemin du but mais poussait trop son ballon (28 e). Une seconde fois, à la 42 e, sur une frappe de Benzema.

L’impression laissée en première période allait prendre forme après la pause. À l’heure de jeu, Diaby était tout près de convertir en but un coup-franc de Malouda. Mais la tête du Gunner, qui avait pris le dessus sur Spahic, passait largement à côté. Mais dans la foulée, la France se faisait une sacrée frayeur. Et il fallait la main ferme de Lloris pour détourner un coup-franc surpuissant des 30 m de Pjanic (64 e). Ce fut la seule et dernière occasion bosnienne. Et la domination tricolore allait se concrétiser à la 72 e. Malouda décalait Clichy sur la gauche. Pour sa première montée de la rencontre, le latéral d’Arsenal trouvait Benzema dans la surface : contrôle, roulette et frappe enchaînée dans le petit filet de Hasagic. L’ouverture du score de l’avant-centre du Real Madrid, logique, était en plus sublime.

Les Bleus enfonçaient le clou six minutes plus tard. Benzema servait Diaby plein axe. Le milieu de terrain, dans tous les bons coups hier, trouvait Valbuena dans la surface : la frappe ratée du Marseillais se transformait en passe décisive pour Malouda qui n’avait plus qu’à pousser le ballon au fond.

La différence était faite, et ce n’étaient pas les fumigènes ou les pétards qui tombaient sur la pelouse qui allaient inverser la tendance. Benzema avait même la balle du 3-0 en fin de rencontre (90 e+1), mais l’essentiel était déjà assuré.

[via] lalsace.fr

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