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Jean-Paul Belmondo fête son anniversaire de 80 ans

Jean-Paul Belmondo fête ses 80 ans aujourd’hui

80 ans, Un âge sage et un anniversaire, que Jean-Paul Belmondo a préparé avec ses proches, tous réunis pour fêter avec lui cet évènement. Sa fille Stella, son rayon de soleil, comme il le dit si bien, la petite fille qu’il a eue avec Natty, était aussi de la partie, ravie d’être avec toute sa famille. L’acteur était chez son fils Paul et sa femme Luana ce week-end pour organiser la fête. Sa fille Florence, qui vit aux États-Unis, a traversé l’Atlantique pour lui, avec ses trois enfants, Christopher, Nicholas et Annabelle.

La 13e édition de la Coupe du monde de pâtisserie
s’est achevée hier à Lyon.

Coupe du monde de pâtisserie

Le Salon international de la gastronomie s’est déroulé Dimanche 27 et Lundi 28 à Lyon. Vingt-deux nations se sont défiées pour décrocher la Coupe du monde de pâtisserie.

Présentation de l’équipe de France de Pâtisserie

L’équipe de France de pâtisserie, Sous les encouragements de ses supporters a présenté un entremets au chocolat avec compotée de mandarine, croustillant cacao, ganache chocolat et mousse au chocolat, le tout en forme de voiture sur le tarmac des 24 Heures du Mans :

c’est ce qui a permis à la France de
remporter pour la 7e fois le titre de champion du monde de pâtisserie.

Pour cette 13e édition de la Coupe du monde de pâtisserie, lors du Salon international de la gastronomie à Lyon, l’ambiance est électrique. Dans les gradins, les coups de corne de brume des supporters tricolores assourdissent jusque sur le plateau. « On était sûrs que la France pouvait gagner. Elle a beaucoup d’expérience dans les concours, donc elle arrive à supporter la pression », assure Thomas Conte, 22 ans.

Ne rien lâcher, donner le meilleur de soi, se faire plaisir, jouer en confiance. On se croirait dans les vestiaires d’un stade de foot pendant la causerie d’avant-match. La Coupe du monde de pâtisserie n’est pas simplement la réunion des plus grands talents du sucre, c’est une vraie compétition.

Pour chaque équipe, la préparation est semblable à celle d’un sportif de haut niveau. Le jour J, il faut tenir physiquement, gérer le stress, le bruit, la chaleur.

Jérôme de Oliveira, dernier lauréat français en 2009, connaît bien l’adrénaline des fourneaux et des concours. Avec l’aide de quelques glorieux prédécesseurs, Angelo Musa, actuel coach de l’Équipe de France, ou Christophe Michalak, il a préparé durant des semaines les trois membres de l’Équipe de France, Quentin Bailly, le capitaine chocolatier, Mathieu Blandin, le pâtissier et Joffrey Lafontaine, le glacier.

Il leur a inculqué le goût de l’effort, la rigueur, le dépassement de soi, la solidarité. Il sait à quel point la force mentale est essentielle dans ces moments. « On se met à nu, on est épié. »

Il n’y a plus de petites équipes

Avec sept titres de champion de monde et sept podiums, la France sait ce qu’est la victoire. Le secret ? « Il faut apprendre à se connaître, trouver une cohésion, une équipe, explique Jérôme de Oliveira. Il y a trois styles, trois envies, trois visions différentes ».

Chocolatier, pâtissier et glacier doivent jouer ensemble, trouver les automatismes, se montrer solidaires, à l’écoute. Lors du montage final de la pièce chocolatée, toute la salle retenait son souffle, alors que Quentin, Mathieu et Joffrey mettaient les derniers points de colle alimentaire.

Un mois auparavant, ces artistes du sucré répétaient leur gammes comme un attaquant ses coups-francs. Tout est une question d’équilibre pour sublimer le goût et trouver le bon angle. Celui qui fera mouche auprès du jury. Jusqu’aux derniers jours, ils ont affiné, ajusté, peaufiné les combinaisons.

Les Participants à ce concours

Comme en sport, aujourd’hui, il n’y a plus de petites équipes. Les meilleurs pâtissiers français s’expatrient pour coacher en Afrique ou en Asie. Seules 22 sélections sont qualifiées pour cette Coupe du monde, dont trois pays invités : la Chine, le Mexique et la Côte d’Ivoire.

« Le niveau s’élève à chaque Coupe du monde », constate Jérôme de Oliveira. « Les talents sont partout, les pays que l’on disaient modestes deviennent des grandes équipes au contact des pâtissiers français », renchérit le chef-pâtissier Philippe Conticini.

Pour leur première participation, les Ivoiriens n’étaient pas venus pour faire de la figuration. « Nous venions pour gagner la Coupe et prouver que nous sommes premiers dans beaucoup de domaines, notamment le cacao », confie Paul Bassogog, président de la sélection ivoirienne.

Mais ils ont dû s’adapter. Leur glacière n’avait jamais utilisé de tronçonneuse pour sculpter la glace et s’était entraînée jusqu’à présent… sur une bûche de bois. Quant aux plaques à induction, c’était une première. Être à Lyon, c’est déjà une victoire.

Aucune équipe, même la mieux entraînée, n’est à l’abri d’une catastrophe. À l’instar de la Malaisie ou de la Belgique, qui ont vu leur sculpture en sucre et chocolat s’effondrer. Ou de l’Égypte qui, pour sa première participation, s’est retrouvée privée d’un de ses membres, faute de visa !

Ce qui permet au président de l’Équipe de France Frédéric Casser, de conclure:

« C’est comme une compétition de golf, il faut jouer jusqu’au dernier trou, car on est jamais à l’abri de se retrouver dans le sable »

[via]  Antoine Victot, ouest-france.fr

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