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Jean-Paul Belmondo fête son anniversaire de 80 ans

Jean-Paul Belmondo fête ses 80 ans aujourd’hui

80 ans, Un âge sage et un anniversaire, que Jean-Paul Belmondo a préparé avec ses proches, tous réunis pour fêter avec lui cet évènement. Sa fille Stella, son rayon de soleil, comme il le dit si bien, la petite fille qu’il a eue avec Natty, était aussi de la partie, ravie d’être avec toute sa famille. L’acteur était chez son fils Paul et sa femme Luana ce week-end pour organiser la fête. Sa fille Florence, qui vit aux États-Unis, a traversé l’Atlantique pour lui, avec ses trois enfants, Christopher, Nicholas et Annabelle.

Le Mariage émouvant de la Princesse Madeleine et Chris O’Neill

Le Mariage la Princesse Madeleine de Suède
Le mariage de La princesse Madeleine de Suède, toute rayonnante de bonheur, vétue d’une magnifique robe de mariée Valentino, couvée du regard Chris O’Neill, un époux visiblement dévoué.

Christopher O’Neill ne parle certes pas suédois (pas encore, du moins), et a décliné l’opportunité de devenir prince et d’obtenir la nationalité de sa dulcinée ; mais lorsque, ce samedi 8 juin 2013, deux jours avant les 31 ans de Madeleine et deux semaines avant ses 39 ans, il lui a promis en anglais, répondant à la question fatidique posée par le chapelain royal Lars-Göran Lönnermark d’un « I will » assuré et passionné, qu’il prendrait soin d’elle, sa parole était d’or, son amour sincère évident. Puis ce fut à son tour à elle de se donner corps et âme à lui, d’un « ja » vibrant.

La princesse Madeleine de Suède et le financier britanno-américain, qui se sont rencontrés en 2011 à New York, se sont mariés samedi en la chapelle royale du palais à Stockholm, en présence de 500 invités, dont leur famille (même la petite princesse Estelle, 15 mois !) et des têtes couronnées de toute l’Europe. La princesse Madeleine de Suède, vêtue d’une robe signée Valentino, et Chris O’Neill, lors de leur mariage le 8 juin 2013 à Stockholm. Après la cérémonie dans la chapelle du palais royal, les jeunes mariés ont emprunté une calèche pour se rendre à Riddarholmen et embarquer pour Drottningholm, résidence royale où se tenait la réception.

L’émotion à son comble

Si le mariage de la fille cadette du roi Carl XVI Gustaf de Suède et de la reine Silvia ne devait pas être aussi grandiose et historique que celui de sa soeur la princesse héritière Victoria et du prince Daniel, célébré le 19 juin 2010, il n’en fut pas moins émouvant, loin de là. Et la ferveur populaire était palpable dès la veille au soir, lorsque, à l’occasion du dîner offert par le souverain au Grand Hotel à une partie des invités de la noce, les futurs mariés apparaissaient au balcon pour saluer une foule déjà nombreuse. Samedi, les déclarations d’amour fleurissaient dans les rangs des milliers de personnes massées aux abords du palais, alors que, peu après 14 heures, les invités commençaient à prendre place à l’église.

A 16 heures, la mariée, somptueuse dans une robe plutôt classique, en organza et dentelle de Chantilly, dessinée par Valentino et dotée d’une traîne de quatre mètres, faisait son entrée au bras de son père le roi, fier et appliqué comme on l’imagine. Elle a passé la nuit chez sa soeur, au palais Haga. Son chevalier servant, avec son témoin Cedric Notz, l’attendait, ébloui, les larmes au bord des yeux. On remarque alors qu’il porte les insignes (une croix d’or portant un médaillon azur et surmontée d’une couronne) de l’Ordre royal de l’Étoile polaire, qui a la particularité de n’être décerné qu’à des personnes n’ayant pas la nationalité suédoise.

La Cérémonie

La cérémonie a débuté au son d’une chanson d’amour interprétée par Marie Fredriksson, du groupe Roxette, et a été marquée par des lectures de la princesse Victoria de Suède, qui a bien failli être troublée par sa petite princesse Estelle, un peu dissipée dans les bras de son papa le prince Daniel, et de Natascha, l’une des cinq demi-soeurs de Chris O’Neill. Le chapelain royal Lars-Göran Lönnermark a ensuite recueilli les consentements, en anglais et en suédois tour à tour ; l’émotion gagnait les amoureux… Puis, à tour de rôle, Chris O’Neill et la princesse Madeleine ont échangé leurs voeux, se jurant d’après l’exemple de l’ecclésiastique amour et fidélité jusqu’à ce que la mort les sépare, le regard plongé l’un dans celui de l’autre. Exercice périlleux, ils se passent les alliances au doigt, fébriles et bouleversés. Moment touchant, après un bref blanc, Chris O’Neill se penche alors pour déposer un baiser sur la joue que la princesse Madeleine lui tend tandis que le chapelain les déclare mari et femme, dans une scène cocasse qui révèle la nervosité du couple (à voir dans notre player dans une vidéo Aftonbladet). Il n’y aura pas de vrai baiser dans l’église, mais les jeunes mariés se rattraperont en en sortant, quelques minutes plus tard, devant des spectateurs qui réclameront « kiss her, kiss her »…

Après d’autres instants de vive émotion, comme lorsque le chanteur Peter Jöback (qui s’était produit au concert du mariage de la princesse Victoria) interpréta un titre évoquant un coup de foudre qui sembla chambouler un peu plus le couple, Madeleine et Chris redescendaient l’allée vers la sortie, souriant allègrement à leurs invités : au premier rang, la famille royale, avec Estelle dans sa petite robe rose et la reine Silvia en robe vert jade, la famille du marié, avec une Eva O’Neill visiblement aux anges, les royaux, à l’instar de Frederik et Mary de Danemark, Charlene de Monaco ou encore Pavlos et Marie-Chantal de Grèce, les personnalités politiques, comme le Premier ministre Fredrik Reinfeldt ou la jeune présidente du parti centriste Annie Lööf. Et les amis, à l’instar de Louise Gottlieb, BFF de la princesse Madeleine, Lovisa de Geer et son compagnon Niklas Bolle, Emma Pernald, ex du prince Carl Philip dont elle est également très proche… Apparemment, tout le monde ou presque était là, malgré une panique de dernière minute au Grand Hotel, où nombre d’invités se trouvaient encore à quelques minutes du mariage malgré les autobus municipaux affrêtés spécialement.

Versant quelques larmes durant cette traversée de la nef, la princesse Madeleine et Chris O’Neill apparaissent au grand jour comme mari et femme, devant une foule de centaines de personnes qui applaudissent et brandissent le drapeau national – et des appareils photo. Là, enfin, le couple s’embrasse passionnément, à plusieurs reprises, semble s’enivrer de ces instants d’euphorie tandis qu’une salve de 21 coups de canon tirée à Skeppsholmen salue leur union.

Chevaux, bateaux, maestro…

La météo étant clémente, c’est en calèche royale dite « à la d’Aumont » que les jeunes mariés quittent à 17h50 la cour intérieure du palais par la porte sud pour une brève procession qui les amène aux terrasses d’Evert Taubes, sur l’îlot Riddarholmen, où les attend ainsi que leurs invités un bateau à destination de Drottningholm, résidence de la famille royale qui accueille dans ses jardins, sous un chapiteau, la réception. Madeleine et Chris ont emprunté une calèche fameuse, sortie en 1900 des ateliers de la société L.V. Nylunds et déjà utilisée pour la plupart des mariages royaux précédents. Les 400 convives de marque de la soirée sont, eux, acheminés à bord des bus bleus de la capitale, sur l’écran desquels on peut voir affiché « royal wedding ». Service spécial. Sur Riddarholmen, les jeunes mariés ainsi que leurs invités d’honneur embarquent à bord du SS Stockholm, tandis que les autres passagers empruntent le MS Gustafsberg VII et le MS Waxholm III.

Stefano Catenacci, chef du restaurant OperaKällaren qui est un des repaires favoris de Madeleine et ses amis à Stockholm, s’est vu confier la préparation du banquet, lui qui avait donné entière satisfaction lors du mariage de la princesse Victoria.

Le bar ouvrait à 18h30, le bal à 23h. La nuit appartient à la princesse Madeleine et à Chris O’Neill. Vive les mariés !

La Galerie photo du Mariage


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