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Jean-Paul Belmondo fête son anniversaire de 80 ans

Jean-Paul Belmondo fête ses 80 ans aujourd’hui

80 ans, Un âge sage et un anniversaire, que Jean-Paul Belmondo a préparé avec ses proches, tous réunis pour fêter avec lui cet évènement. Sa fille Stella, son rayon de soleil, comme il le dit si bien, la petite fille qu’il a eue avec Natty, était aussi de la partie, ravie d’être avec toute sa famille. L’acteur était chez son fils Paul et sa femme Luana ce week-end pour organiser la fête. Sa fille Florence, qui vit aux États-Unis, a traversé l’Atlantique pour lui, avec ses trois enfants, Christopher, Nicholas et Annabelle.

Agriculture : Toute la vie de l’exploitation dans un téléphone !

La révolution smartphone touche tout le monde, y compris les agriculteurs. Certains d’entre eux utilisent ce nouvel appareil pour gérer leurs activités en temps réel.

Jean-Marc Ménoret, agriculteur au Gaec du Marais, à Anetz (Loire-Atlantique) : « Le smartphone me permet de gagner en souplesse dans mon organisation ». Franck Dubray

Chaque matin à 7 h, Jean-Marc Ménoret commence par traire ses vaches dans son exploitation de 85 ha et 110 bovins, à Anetz (Loire-Atlantique). Puis il prend son petit-déjeuner. Et consulte son smartphone. Pas pour le plaisir de surfer sur internet : ce « téléphone intelligent », c’est-à-dire où se cache un ordinateur, est tout simplement son outil de travail.

Il lui permet d’accéder à deux logiciels : Synel, pour l’élevage, et Mesp@rcelles, pour les cultures, qui l’aident à gérer son exploitation. Il y rentre des données, stockées sur un serveur à Caen. Un service proposé par la chambre d’agriculture, moyennant 408 € par an. En Loire-Atlantique, deux cents agriculteurs l’utilisent aujourd’hui. Jean-Marc Ménoret s’y est mis il y a deux ans. L’heure de la retraite ayant sonné pour son père, la charge de travail augmentait sur l’exploitation familiale, qui ne pouvait se permettre de recruter. Il a cherché à gagner en rentabilité.

« Avant, quand je voyais un animal en chaleur, je devais retourner au bureau pour voir si on était à la bonne date pour lancer la reproduction. Cela veut dire enlever ses bottes, se laver les mains, etc. Maintenant, j’ai directement l’information sur mon téléphone. » Le système lui indique toutes les données en temps réel : les maladies de la doyenne du troupeau, Tisane, la production habituelle de lait de Chamade ou la dernière visite du vétérinaire pour Djanisse. Un système d’alerte le prévient des tâches les plus urgentes à effectuer.

Éviter les oublis

Pour les cultures, une carte de l’exploitation est disponible dans le téléphone. Un petit clic sur une parcelle et celle-ci révèle tous ses secrets ! « Quand je commence à épandre du fumier, je consulte mon smartphone et il me dit la quantité que je dois mettre. Je valide quand je sors du champ. Cela évite d’avoir dans la poche des papiers qu’on risque de perdre. »

« Il met juste la bonne dose d’engrais, c’est bon pour le portefeuille comme pour l’environnement », souligne Cyril Godet, représentant de la chambre d’agriculture pour le secteur d’Ancenis. Comme l’agriculteur n’attend pas le soir pour indiquer au logiciel le geste qu’il vient de faire, cela limite le risque d’oubli ou d’erreur.

Dans cette gestion agricole version high-tech, il n’y a, pour Jean-Marc Ménoret, qu’un seul bémol : c’est le téléphone en lui-même, le maillon faible du système car il n’est pas spécialement conçu pour arpenter champs et étables à longueur de journée et par tous les temps ! « C’est fragile, on travaille dans la poussière et l’humidité. Or, au départ, c’est juste un appareil grand public. »

[via] Claire Dubois, ouest-france.fr

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