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Jean-Paul Belmondo fête son anniversaire de 80 ans

Jean-Paul Belmondo fête ses 80 ans aujourd’hui

80 ans, Un âge sage et un anniversaire, que Jean-Paul Belmondo a préparé avec ses proches, tous réunis pour fêter avec lui cet évènement. Sa fille Stella, son rayon de soleil, comme il le dit si bien, la petite fille qu’il a eue avec Natty, était aussi de la partie, ravie d’être avec toute sa famille. L’acteur était chez son fils Paul et sa femme Luana ce week-end pour organiser la fête. Sa fille Florence, qui vit aux États-Unis, a traversé l’Atlantique pour lui, avec ses trois enfants, Christopher, Nicholas et Annabelle.

La presse voit dans les tablettes numériques sa planche de salut

Un vendeur tient l'iPad d'Apple lors de son lancement à Bruxelles le 23 juillet 2010. REUTERS / Thierry Roge

Les tablettes numériques : Un nouveau moyen de conquérir des lecteurs?

Confrontés à une baisse de leur diffusion, mis à mal par la gratuité de l’information sur internet, magazines et journaux voient dans les tablettes numériques, iPad en tête, un moyen de reconquérir des lecteurs… prêts à mettre la main à la poche.

Les Echos, Le Monde, L’Equipe, L’Express, Le Parisien ou Géo… nombre de grands titres français se déclinent désormais sous forme d’applications permettant leur lecture sur tablettes électroniques.

« L’iPad se prête très bien à la lecture. C’est confortable. On peut y feuilleter un magazine, de façon linéaire, comme pour l’imprimé, ce qui n’est du tout le cas du web », explique Patrick Hurel, directeur du pôle numérique de la régie publicitaire du Figaro.

La plupart des quotidiens proposent deux applications: l’une gratuite, au contenu similaire au site internet, l’autre, payante (0,79 euro le numéro dans la majorité des cas), proposant le contenu du journal papier, souvent enrichi de photos, vidéos, extraits sonores, et parfois réactualisée plusieurs fois par jour.

« Les mobinautes sont prêts à payer sur la tablette, c’est nouveau par rapport au web », relève M. Hurel, citant une étude, réalisée à petite échelle, selon laquelle un possesseur d’iPad dépense en moyenne 27 euros par mois pour acheter des contenus.

Ce tournant fait entrevoir la fin de la gratuité, modèle économique dominant pour la presse traditionnelle sur la Toile, qui a fortement entamé ses recettes tout en plombant sa diffusion écrite.

« Aucun éditeur de presse ne gagne de l’argent sur internet », « on a raté ce virage », constatait Xavier Romatet, PDG de Condé Nast France (Vogue, QG ou Glamour), lors d’une conférence organisée par Les Echos en décembre.

Mais la tablette reste chère. L’iPad coûte au moins 499 euros, et la tablette de Samsung lancée en novembre, Galaxy Tab, 699. Les deux sont aussi vendues à un prix inférieur par les opérateurs télécom avec abonnement à une clé 3G.

Malgré une prévision du cabinet GfK de 100.000 à 150.000 tablettes vendues en décembre, les chiffres semblent un peu décevants: Orange a indiqué en avoir vendu seulement 30.000 toutes marques confondues pendant les fêtes, et si Apple refuse de communiquer, Samsung en a écoulé un peu moins que les 50.000 espérés.

Le nombre de lecteurs réguliers reste donc confidentiel. Géo, qui vend chaque numéro sous forme d’application à 4,99 euros, a été téléchargé 10.000 fois en huit mois en France. Aux Etats-Unis, après un départ en trombe l’été dernier, les achats de magazines phares comme Wired ou Vanity Fair sur l’iPad se sont effondrés.

Pour autant, « la tablette change complètement la donne », selon Rolf Heinz, PDG du groupe Prisma Presse (Géo, Gala, Ca m’intéresse). « D’ici 2 ou 3 ans la tablette sera présente dans 20% des foyers », avance-t-il.

Un connaisseur du secteur relève quelques « bémols », notamment « une profusion de tablettes et de formats » obligeant les titres à multiplier leurs applications.

S’y ajoute le coût de développement d’une application, au moins 30.000 euros. Et surtout le « partage de revenus », qui fait qu’Apple et Google prélèvent 30% sur l’achat d’une application, ou d’un numéro. « Il y a un problème de redistribution des revenus entre éditeurs et distributeurs, qui prélèvent des taux incompatibles avec la rentabilité de notre modèle économique », accuse M. Romatet.

Mais les éditeurs sont optimistes. Le Figaro a ainsi attiré 25 annonceurs sur ses applications gratuites pour tablettes, qui ont généré « plusieurs centaines de milliers d’euros » de chiffre d’affaires en 2010, selon M. Hurel.

[via] © 2011 AFP, 20minutes.fr

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