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Jean-Paul Belmondo fête son anniversaire de 80 ans

Jean-Paul Belmondo fête ses 80 ans aujourd’hui

80 ans, Un âge sage et un anniversaire, que Jean-Paul Belmondo a préparé avec ses proches, tous réunis pour fêter avec lui cet évènement. Sa fille Stella, son rayon de soleil, comme il le dit si bien, la petite fille qu’il a eue avec Natty, était aussi de la partie, ravie d’être avec toute sa famille. L’acteur était chez son fils Paul et sa femme Luana ce week-end pour organiser la fête. Sa fille Florence, qui vit aux États-Unis, a traversé l’Atlantique pour lui, avec ses trois enfants, Christopher, Nicholas et Annabelle.

MacBook Pro 13 pouces Retina: une version affinée
et dépourvue de lecteur optique

MacBook Pro Retina - 13 inch [a]

Le MacBook Pro 13 pouces Retina revient à un prix enfin acceptable, successeur d’un des Mac les plus vendus, Il accueille au passage la dernière génération de processeurs Intel Core, et surtout un cœur graphique un peu plus musclé. De quoi en faire une affaire cette fois ?

Design et ergonomie

le nouveau MacBook Pro « petit format », comme le MacBook Pro 15 pouces Retina, est une version affinée, et dépourvue de lecteur optique, du MacBook Pro « non Retina ». En version 13 pouces, ce dernier reste d’ailleurs au catalogue, preuve qu’Apple doit encore compter sur ses ventes de manière significative. La version 2013 perd 1 mm en épaisseur, pour arriver à celle du modèle 15 pouces, et… 5 grammes en poids. À 1,56 kg, il fait toujours près de 200g de plus qu’un MacBook Air 13 pouces. Il est en revanche un peu moins large.

La connectique est assez fournie même si elle fait l’impasse sur l’Ethernet et le Firewire 800. On retrouve 2 ports Thunderbolt 2.0 et une sortie HDMI, en plus des 2 connecteurs USB 3.0 et du slot SD. La présence de 2 Thunderbolt permet de compenser en partie l’absence des prises susmentionnées, mais on préférerait que les adaptateurs soient inclus, et pas vendus 29,99 euros pièce.

Pas de changement niveau audio : les haut-parleurs sont situés sous le clavier, et un jack fait office d’entrée et de sortie analogique ou optique. 2 micros se trouvent également sur le côté : ils complètent le micro principal pour l’optimisation des bruits ambiants.

Le clavier et le trackpad ne bougent pas d’un millimètre, et c’est tant mieux, car on n’a toujours rien à leur reprocher. En revanche, le capot n’est pas fait pour être ouvert facilement, et les composants sont à prendre ou à laisser.

D’une manière générale, le design ne surprend pas, et il commencerait même à lasser un peu. En revanche, il reste remarquable par la qualité de sa finition.

La micro architecture Haswell

Pour ce MacBook Pro, le passage à la micro architecture Haswell est surtout synonyme de GPU intégré plus puissant. C’était le défaut principal de son prédécesseur : à sa sortie, le petit HD 4000 était tout simplement insuffisant pour gérer de manière fluide l’affichage d’un écran de 2560×1600 pixels. Ici, on dispose du circuit Iris, malheureusement pas dans sa version Pro, mais tout de même sensiblement plus performant que le HD 5000 des derniers MacBook Air.

Du côté du processeur, Apple opte toujours pour des modèles bi-cœurs sur son 13 pouces. En version de base, on trouve un Intel Core i5 4258U cadencé à 2,4 GHz (2,9 GHz en mode Turbo Boost). Sur l’Apple Store, on pourra choisir un Core i5 4288U (2,6 / 3,1 GHz) ou un Core i7 4558U (2,8 / 3,3 GHz).

La dalle LCD IPS, d’excellente qualité, du modèle précédent, est reconduite. Avec une définition de 2560×1600 pixels, des angles de vision impeccables, une colorimétrie visiblement bien calibrée et LCD affleurant au verre, il est difficile de se plaindre de quoique ce soit.

Le stockage et la mémoire vive sont un peu justes sur le modèle de base : 128 Go pour le SSD, 4 Go pour la RAM, c’est sans doute suffisant pour un MacBook Air, mais on voit bien que l’entrée de gamme est surtout là… pour donner envie d’acheter la configuration supérieure ! Et vu que rien n’est remplaçable par l’utilisateur après coup, il faut bien choisir à l’achat.

Comme sur le modèle 15 pouces, le Thunderbolt passe en version 2, et gère désormais des débits jusqu’à 20 Gbits/seconde. Les périphériques Thunderbolt peuvent toujours être enchainés, et la connectique intègre le Mini Display Port. Le MBP version 2013 se met au Wi-Fi en norme ac, et intègre une puce Bluetooth 4.0.

On avait pu déplorer les difficultés qu’éprouvait le GPU intégré de la version 2012 pour afficher avec fluidité l’interface d’OS X en mode Retina. Ca faisait certes beaucoup de pixels pour un pauvre HD 4000. La mise à jour en Haswell corrige ce point… Mais pas tout à fait. Si la plupart des saccades ont disparu, et notamment celles des défilements de Safari, il subsiste encore quelques accrochages qui rappellent qu’on n’est pas en train d’utiliser le MacBook Pro 15 pouces.

L’autre reproche que l’on pourrait adresser au modèle 13 pouces concerne la résolution native choisie : les éléments à l’écran occupent l’espace d’un MacBook en 1280×800 pixels, ce qui laisse assez peu d’espace pour les fenêtres. Heureusement, Apple a prévu le coup en gérant la mise à l’échelle de manière transparente pour l’utilisateur, mais avec une petite perte supplémentaire en performances lorsqu’on monte vers une échelle supérieure. On imagine qu’une dalle 2880×1800 sur un 13 pouces aurait été trop coûteuse, ou trop juste pour le GPU intégré.

Hormis ces 2 défauts, finalement assez mineurs, l’utilisation du MacBook Pro 13 pouces Retina est enfin satisfaisante : les applications compatibles ont fleuri en un an, l’écran est d’une lisibilité impeccable, et les qualités des portables d’Apple se retrouvent. Le clavier est agréable, le touchpad très confortable et parfaitement exploité par le système, et la webcam nous a semblé afficher une image assez précise et flatteuse.

Par rapport au modèle 15 pouces, on est un peu plus réservé sur le son, comme d’habitude : les haut-parleurs situés sous le clavier manquent cruellement de basses, et ne suffiront pas pour écouter de la musique sans avoir envie de sortir son casque. Côté nuisances sonores, le ventilateur a comme souvent tendance à s’emballer dès que l’on effectue une tâche gourmande en ressources.

Pour son premier MacBook Pro 13 pouces Retina, Apple semblait avoir vu un peu juste et les composants, notamment la partie graphique, pouvaient ne pas suffire à assurer une fluidité parfaite sur un écran aussi exigeant. Cette mise à niveau corrige presque intégralement ce problème, même si on rencontre encore quelques saccades. On aurait vraiment aimé que ce modèle intègre un processeur quadri-coeurs accompagné d’Iris Pro, mais c’est peut-être beaucoup demander dans un espace si étriqué.

Une baisse de prix nécessaire

La baisse de prix qui s’avère nécessaire, place la configuration de base à un prix proche de l’ancien modèle « non Retina », et un écosystème d’applications compatibles en net progrès depuis un an, ce MacBook Pro 13 pouces devient beaucoup plus intéressant. Le design, sans surprise, est toujours un modèle de finition, l’intégration matériel/logiciel reste une force des portables d’Apple, et les performances comme l’autonomie bénéficient d’un petit gain fort bienvenu.

On regrettera malgré tout l’absence d’évolutivité, sur laquelle il va falloir tirer un trait définitif. Quand le MacBook Pro « non Retina » sera retiré du catalogue, il deviendra impossible de changer simplement quoique ce soit sur n’importe quel MacBook. Il faut donc bien choisir sa configuration de départ, et la version de base nous paraît un peu juste en mémoire vive et en stockage.

À 1499 euros pour le modèle supérieur, la somme est conséquente. On dira que la qualité se paie, mais les options concurrentes côté PC sont ici plus nombreuses que sur le modèle 15 pouces.

Il s’agit dans tous les cas d’un portable performant, autonome et très bien fini, mais pas du plus abordable.

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