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Jean-Paul Belmondo fête son anniversaire de 80 ans

Jean-Paul Belmondo fête ses 80 ans aujourd’hui

80 ans, Un âge sage et un anniversaire, que Jean-Paul Belmondo a préparé avec ses proches, tous réunis pour fêter avec lui cet évènement. Sa fille Stella, son rayon de soleil, comme il le dit si bien, la petite fille qu’il a eue avec Natty, était aussi de la partie, ravie d’être avec toute sa famille. L’acteur était chez son fils Paul et sa femme Luana ce week-end pour organiser la fête. Sa fille Florence, qui vit aux États-Unis, a traversé l’Atlantique pour lui, avec ses trois enfants, Christopher, Nicholas et Annabelle.

Salon de l’Agriculture: Peut-on continuer à manger de la viande?

Une barquette de viande dans un supermarché. Duclos Alexis/SIPA

Les éleveurs prônent moins de consommation mais de meilleure qualité…

Thème central du salon, l’élevage bovin n’a pas la cote. Santé, environnement, bien-être animal… Faut-il bannir la viande de nos assiettes? Yves-Marie Le Bourdonnec, boucher à Asnières, a tranché. « Je conseille d’être végétarien plutôt que manger de la viande de grande surface ».

Si dans les supermarchés la viande provient surtout de vaches laitières en fin de carrière, certaines régions françaises produisent encore une viande de qualité. Le Cantal par exemple, où Bruno Dufayet élève des salers: « Il n’y a pas d’industrialisation des élevages en France. Je serai le premier à le condamner », assure-t-il. Ses vaches mangent de l’herbe et du foin en hiver: on est loin des « feed lots » américains, ces fermes immenses où les vaches grossissent en un temps record, sans jamais voir un brin d’herbe.

« Nous voulons l’égalité entre hommes et animaux »

Les éleveurs se disent victimes d’accusations infondées: « En France, les fermes comptent en moyenne cinquante vaches », explique Jean-Marc Bèche, de la Confédération nationale de l’élevage. Pour lui, le système français est productif et écologique grâce à des petites fermes qui nourrissent leurs bovins avec leurs terres, traitées naturellement. Mais cette qualité a un prix: une entrecôte achetée chez Yves-Marie Le Bourdonnec coûte environ 50 € le kg.

« On peut manger moins de viande, mais de meilleure qualité », conseille la Protection mondiale des animaux de ferme (PMAF), organisation pour le bien-être animal. Deux fois par semaine, un steak de bonne qualité, label rouge ou bio, ne mettrait pas la santé en péril. Devenir végétarien relève plutôt d’un choix éthique: « Nous rejetons tout type d’élevage et voulons l’égalité entre hommes et animaux », explique Brigitte Gothière, de l’association pro-végétarisme L214.

[via] Audrey Chauvet, 20minutes.fr

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