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Jean-Paul Belmondo fête son anniversaire de 80 ans

Jean-Paul Belmondo fête ses 80 ans aujourd’hui

80 ans, Un âge sage et un anniversaire, que Jean-Paul Belmondo a préparé avec ses proches, tous réunis pour fêter avec lui cet évènement. Sa fille Stella, son rayon de soleil, comme il le dit si bien, la petite fille qu’il a eue avec Natty, était aussi de la partie, ravie d’être avec toute sa famille. L’acteur était chez son fils Paul et sa femme Luana ce week-end pour organiser la fête. Sa fille Florence, qui vit aux États-Unis, a traversé l’Atlantique pour lui, avec ses trois enfants, Christopher, Nicholas et Annabelle.

Ville en fête : Le soleil salue le lancement du Fimu à Belfort

Les rues de Belfort se sont remplies peu à peu, hier après-midi, pour la première journée du Fimu. Le public a vite repris ses habitudes, vaquant d’une scène à l’autre au hasard ou au gré des coups de cœur. Le festival se poursuit pendant deux jours.

De la musique, un pas de danse, la foule sous le soleil : le Fimu est bel et bien lancé. Photo Guillaume Minaux

Pour sa 24 e édition, le ciel est du côté du Fimu. Comme par magie, après trois semaines de pluie et de froid, le mercure a fait un bond hier et le soleil s’est installé pour de bon. Les organisateurs du festival de musique universitaire de Belfort n’en espéraient pas tant.

Le public, lui, a salué le retour du beau temps en se massant dès le milieu d’après-midi dans les rues de la vieille ville. Vers 14 h, quand les premiers accords de guitare ont résonné sous le kiosque à musique, les rangs des spectateurs étaient encore clairsemés. Une heure plus tard, à l’issue de la prestation de Guitar Swing, l’affluence commençait à être au rendez-vous.

« On dirait qu’il y a du monde, confirmait Richard Gorrieri, directeur du festival, en début de soirée. Mais ce n’est pas le nombre qui nous intéresse. Ce qu’on veut, c’est que les gens soient heureux ». À voir les grands sourires fleurir sur les visages des festivaliers, la mission est réussie.

Autre contrat rempli : la programmation, hier, a été respectée à la lettre. Pas de contretemps de dernière minute pour venir contrarier la belle mécanique du Fimu. Depuis le désistement des Algériens de Founoun en début de semaine, faute de visa, tous les musiciens invités répondent présent.

Tout est donc réuni pour que les festivaliers se livrent à leur jeu favori, le grand écart entre des styles diamétralement opposés. Exemple : hier en début d’après-midi, ils pouvaient se délecter de jazz manouche avant de grimper jusqu’à la scène du Lion écouter le hip-hop mâtiné de reggae et de dub de Sentinel. En repassant par la cour de la mairie, changement d’univers. Mélanie Génin, à la harpe et au chant, présente une composition de Benjamin Britten. Sa voix claire s’élève et fait passer un frisson dans l’assistance.

Frissons garantis aussi avec les Bordelais de Nina School, mais pas du même genre : ceux-là donnent dans le punk-rock, devant un public de 16 ans de moyenne d’âge environ. Jazz, musique du monde, country, électro… On pourrait poursuivre longtemps la promenade entre des univers musicaux qui, le reste du temps, sont souvent cloisonnés. C’est la vraie magie du Fimu, qui se renouvelle chaque année : à Belfort, pendant trois jours, les barrières tombent.

[via] Guillaume Minaux, lalsace.fr

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